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Comédie Elf





Comédie Elf sur http://www.imineo.com/documentaires/societe/faits-de-societe/elf-pompe-afriqu...

Une comédie pétrolière sur le plus grand scandale politico-financier français.

Spectacle en 4 actes

1ère audience : Plongeons 28 min.
2nde audience : Ces «choses-là» 27 min.
3ème audience : Déballages immobiliers 31 min.
4ème audience : Comptes et règlements 34 min.

Rappel des faits... Le « procès Elf »

De fin mars à début juillet 2003 s'est déroulé en public au Palais de Justice de Paris, le procès intenté par la compagnie pétrolière Elf à 37 prévenus dont MM. Loïc Le Floch-Prigent, 57 ans, Alfred Sirven et André Tarallo, 76 ans tous les deux.

Ce qui est officiellement jugé, ce sont les abus de biens sociaux commis au détriment de la compagnie pétrolière pendant les quatre années de la présidence de M. Le Floch-Prigent, de 1989 à 1993.

Le spectacle « Elf, la pompe Afrique »

« On va appeler un chat un chat : Elf a été créé pour maintenir l'Algérie et les rois nègres dans l'orbite française par le biais du pétrole. Avec les algériens, ça a capoté. Avec les rois nègres, ça se poursuit. Le système a été créé pour permettre cette opacité. Le président d'Elf est donc un « ministre bis » de la Coopération. C'est pourquoi le Général de Gaulle avec son homme de l'ombre Foccart a placé à sa tête un homme des services secrets. Et c'est pourquoi Elf a de tout temps financé les services secrets. Elf avait donc trois objectifs : industriel, diplomatique et politique. » Loïk Le Floch-Prigent

Sur les bancs de la justice...
Le procès Elf, c'était quatre mois de séances et Nicolas Lambert les a toutes suivies, du début à la fin. Soigneusement il prenait des notes, jouant le rôle d'un journaliste.
« J'ai assisté à la plupart des audiences sur les quatre mois. Ce que je propose sur scène est une synthèse. Les propos qui sont tenus par les personnages ont été tenus par eux. Pour les faire rentrer dans le temps du spectacle, je me suis cependant autorisé quelques licences. Les audiences étant publiques, les journalistes peuvent se saisir de ce qui se dit pour le donner à leurs lecteurs, c'est dans cet esprit que ce spectacle est écrit.
Cependant, aucun enregistrement n'est autorisé dans la salle d'audience, ce sont donc mes notes et l'interprétation que j'en ai qui sont soumises au public. De même qu'à la lecture des articles de presse, les tournures de phrases peuvent varier sous la plume de tel ou tel journaliste, je n'ai bien sûr pas noté systématiquement tous les mots prononcés. Mais la confrontation avec les articles parus me conforte dans l'idée que ce spectacle respecte l'esprit et la lettre du procès. » Nicolas Lambert

L'écriture
Même si toutes les paroles prononcées là sont des paroles rapportées (du procès mais aussi des interviews et autres autobiographies...), on peut parler d'un travail d'écriture.
Face à cette masse de témoignages et d'informations, Nicolas Lambert a fait des choix pour construire un spectacle qui nous laisse croire que nous assistons à deux heures de procès. C'est un imbroglio politico-judiciaire - relatant une affaire opaque, des pratiques occultes - qui s'éclaircit peu à peu sous nos yeux.
Dans cette « comédie pétrolière », Nicolas Lambert pointe du doigt les « dérapages » de ces hommes influents qui se succèdent à la barre des inculpés, et nous aide à comprendre le mécanisme de ces dérives invraisemblables mais réelles.

Le jeu
Nicolas Lambert a tout retenu : le ton mordant et le regard inquisiteur du président Michel Desplan, la gouaille parfois menaçante d'Alfred Sirven, l'art consommé de parler pour ne rien dire d'André Tarallo, le troublant mélange de suffisance et d'humilité de Loïc Le Floch-Prigent.
Il a saisi ces phrases dignes des meilleurs dialogues d'Audiard, pointé la soudaine pudeur sémantique des prévenus dès lors qu'il s'agissait d'évoquer la "caisse noire" d'Elf et les financements politiques - "l'opaque", "l'occulte", "la cuisine", "ces choses-là", "cela" -, noté les petites lâchetés, les demi-vérités, les vrais mensonges et les faux aveux qui ont jalonné l'instruction à l'audience de cette incroyable affaire de détournements de fonds et de corruption où s'entremêlent intérêts pétroliers et déboires conjugaux, hommes d'Etat et hommes de main. Pascale Robert-Diard Le Monde

S'il caricature ces hommes, Nicolas Lambert ne les transforme pas pour autant en pantins agités. Il tâche de rendre leur complexité, leurs ambiguïtés et leur drame profond. En incarnant avec humanité et dérision ces hommes empêtrés dans leurs contradictions, le comédien devient bouffon du roi et nous offre un spectacle drôle et citoyen.

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