Barbara - 1973 Carpentras - Sur la placeBarbara (Monique Serf 1930-1997) Barbara à Carpentras 1973 Enrégistré le 17 juillet dans le cadre du festival de Carpentras-Vaison-la-Romaine. Diffusé sur France-Interdans l'emission "Gala de Variété/Barbara - Maxime Le Forestier" en direct partir de 21 h 30. Avec Roland Romanelli à l'accordeon électronique Major Vox. Les images sont du film Franz avec Jacques Brel et Barbara (1971). Recorded on July 17 during the festival of Carpentras-Vaison-la-Romaine. Broadcasted on France-Interdans through the emission "Gala de Variété/Barbara - Maxime Le Forestier" live from 21.30 hrs. With Roland Romanelli on the electronic accordion Major Vox. The images are from the movie "Franz" with Jacques Brel and Barbara (1971). Sur la place (Jacques Brel) Sur la place chauffée au soleil Une fille s'est mise à danser Elle tourne toujours pareille Aux danseuses d'antiquités Sur la ville il fait trop chaud Hommes et femmes sont assoupis Et regardent par le carreau Cette fille qui danse à midi Ainsi certains jours paraît Une flamme à nos yeux A l'église où j'allais On l'appelait le Bon Dieu L'amoureux l'appelle l'amour Le mendiant la charité Le soleil l'appelle le jour Et le brave homme la bonté Sur la place vibrante d'air chaud Où pas même ne paraît un chien Ondulante comme un roseau La fille bondit s'en va s'en vient Ni guitare ni tambourin Pour accompagner sa danse Elle frappe dans ses mains Pour se donner la cadence Ainsi certains jours paraît Une flamme à nos yeux A l'église où j'allais On l'appelait le Bon Dieu L'amoureux l'appelle l'amour Le mendiant la charité Le soleil l'appelle le jour Et le brave homme la bonté. Sur la place où tout est tranquille Une fille s'est mise à chanter Et son chant plane sur la ville Hymne d'amour et de bonté Mais sur la ville il fait trop chaud Et pour ne point entendre son chant Les hommes ferment leurs carreaux Comme une porte entre morts et vivants Ainsi certains jours paraît Une flamme en nos cœurs Mais nous ne voulons jamais Laisser luire sa lueur Nous nous bouchons les oreilles Et nous nous voilons les yeux Nous n'aimons point les réveils De notre cœur déjà vieux Sur la place un chien hurle encore Car la fille s'en est allée Et comme le chien hurlant la mort Pleurent les hommes leur destinée code pour embarquer la vidéo : >>> http://www.youtube.com/embed/d8BDdsiaEEo <<< |