PASSANT VA DIRE A SPARTE...Clip sur le p2p emule avec les tags : PASSANT VA DIRE A SPARTE... Le concept de nation, au sens actuel du terme, vient de la Révolution française. On vit en effet apparaître, au début de la Révolution, une société, la société patriotique de 1789, plutôt modérée, qui se réclamait du patriotisme. Une autre société, que François Perrault décrit comme beaucoup plus radicale, apparut par la suite (1792) : la société patriotique du Luxembourg. Certains courants de la Révolution française mélangeaient, ne l'oublions pas, le nationalisme exacerbé (l'État nation) et le cosmopolitisme : n'est pas de la nation celui qui n'a pas les mêmes idées (d'où les massacres vendéens) et toute personne admettant l'idéologie fait partie de la nation. Le développement de l'idée de nation et donc du nationalisme est indissociable du développement de l'État moderne. Le nationalisme se base sur des identités variables. Deux grands types de nationalisme peuvent être définis : un nationalisme de type français, qui associe la nation à son territoire (droit du sol) et un nationalisme de type allemand qui associe la nation à une origine commune (droit du sang, lire pangermanisme). Le nationalisme ne peut être complètement analysé selon une typologie gauche-droite, même s'il est plutôt de droite, et si dans la première moitié du XXe siècle, il a été à l'origine des mouvements fascistes et nationaux-socialistes et en opposition aux Internationales socialistes successives. Il peut s'opposer au supranationalisme d'entités politiques plus vastes. A éviter : Ils sont très actifs (et ont été assez répandus en France dans la période 1985-95, où ils representaient alors la majorité des skinheads) et regroupés dans diverses organisations telles Blood and Honour, Hammerskins ou Combat 18, un groupe terroriste organisé à partir du kop fasciste des Chelsea Headhunters. Les boneheads sont très visibles en Scandinavie, en Allemagne de l'Est (ex-RDA), dans certaines régions des États-Unis (où ils sont organisés en réseau avec d'autres organisations d'extrême droite comme le Ku Klux Klan), ainsi qu'en Europe de l'Est, notamment en Pologne, Serbie ou surtout Russie, pays qui compte le plus grand nombre de boneheads (où ils défraient souvent la chronique par leurs nombreuses agressions contre des immigrés ou Russes orientaux, allant couramment jusqu'au meurtre). Le look se distingue un peu du look skinhead : il est franchement paramilitaire, les cheveux sont généralement rasés à blanc. Les insignes sont la croix gammée, les écussons de la LVF ou de la division Das Reich, la croix celtique, les galons de la Wehrmacht ou de la SS... La symbolique germanique, viking ou celte est souvent utilisée par les boneheads qui marquent ainsi leur rejet des valeurs judéo-chrétiennes et prônent un retour au paganisme indo-européen. L'usage de l'imagerie celte ou germanique est une récupération. Tous les mouvements qui se réclament du paganisme, du celtisme etc ne sont pas néonazis, ni même nationalistes. Les boneheads se reconnaissent grâce au sigle NS (national-socialiste, c'est-à-dire nazi), généralement accolé au nombre 88 (pour HH, huitième lettre de l'alphabet et initiales de "Heil Hitler"). La marque Lonsdale a longtemps été la préférée des néonazis car en ouvrant partiellement le blouson sur le t-shirt on peut lire NSDA, soit le début de NSDAP (sigle allemand du parti nazi). Cependant les propriétaires de la marque ont beaucoup communiqué sur le fait que le champion de boxe Lonsdale, à l'origine de la marque, a créé à Londres la première salle d'entrainement ouverte aux noirs. Les boneheads ont aujourd'hui leurs propres marques et sigles emblématiques. code pour embarquer la vidéo : >>> http://www.youtube.com/embed/yI7miW2wCXc <<< |