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Les Algériens demeurent mal logés





Les citoyens se plaignent régulièrement des fausses promesses et du «choix douteux» des bénéficiaires de logements.

Satisfaction de la demande de logements et éradication des bidonvilles. L'équation est difficile à résoudre. Pis encore, elle se complique davantage. En dépit des chiffres astronomiques annoncés concernant les logements construits depuis 2005 et à construire d'ici 2014, les Algériens demeurent toujours mal logés. A Alger et dans plusieurs régions du pays, les populations recourent souvent à l'émeute comme moyen d'expression du désarroi collectif face aux incohérences de la politique nationale de logement.
Et souvent, quand on leur donne la parole -- c'est le cas à Diars Echems (commune d'El Madania à Alger) et à la cité les Palmiers (commune de Bachedjerah) -- des citoyens se plaignent «des fausses promesses» et «du choix douteux» des bénéficiaires des nouveaux logements. La majorité d'entre eux parle d'une attente d'un logement décent qui dure depuis plus de 20 ans.

Ce sont, en effet, des citoyens qui ne bénéficient d'aucun programme de logement et dont les ressources financières ne leur permettent pas d'en acheter un (un modeste F2 coûte plus de 6 millions de dinars à Alger) ou d'en louer (un F2 est loué à deux ou trois le SMIG).
Pourquoi est-ce si difficile de résoudre ce problème ? Où vont les milliers de logements construits ? Pourquoi n'arrive-t-on pas à éradiquer les bidonvilles qui pullulent dans les grandes villes du pays ? On s'attendait à des réponses claires du ministre de l'Habitat à ces questions. Peine perdue.

Intervenant hier sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, le ministre de l'Habitat, Nourredine Moussa, s'est contenté d'inviter les familles habitant les bidonvilles à s'armer encore de patience : «Les gens doivent faire confiance à l'Etat et patienter puisque des programmes sont en cours de réalisation et d'autres sont réceptionnés régulièrement.» Selon lui, «les programmes de construction se poursuivent et des quotas importants de logements sont réceptionnés régulièrement».

Les défaillances de la stratégie du gouvernement

Il parle, dans ce sens, d'une liste de 45 000 personnes à Alger recensées en 2007 qui peuvent prétendre à des logements neufs. «Aucune autre demande ne peut y être ajoutée. Graduellement, tous les gens qui sont dans ces conditions, qui attendent depuis longtemps et répondent aux conditions d'éligibilité, auront des logements», ajoute-t-il.
Pourquoi alors ces programmes annoncés n'ont-ils pas résolu la problématique du logement ? Abdelhamid Boudaoued, président du Collège national des experts-architectes, met le doigt sur le mal : «En 1985, tous les bidonvilles ont été recensés et les besoins en logements ont été définis. A Alger, il n'y avait que deux bidonvilles et on avait un besoin d'un million de logements. Aujourd'hui, les bidonvilles se sont multipliés et on continue à parler du même besoin de logements.

Cela prouve qu'il n'y avait pas de stratégie claire.» Notre interlocuteur s'explique : «On parle actuellement d'une parc immobilier composé de 9 millions d'unités. Mais la distribution est très mal faite, l'implantation des cités aussi.» M. Boudaoued critique les statistiques inexactes du gouvernement et la réalisation aléatoire des projets : «On a annoncé la construction de nouvelles villes à Boughzoul et Sidi Abdallah. Mais jusqu'à aujourd'hui, on ne voit rien venir.» La solution, selon lui, serait de charger les 1541 communes du pays de faire leurs calculs et d'arrêter, de manière précise, leurs besoins. «On ne peut pas avancer sans une stratégie bien étudiée. Malheureusement, ce n'est pas encore le cas. Nous sommes toujours de mauvais élèves !», déplore-t-il.

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