leçon de droit international donnée par le Maroc à l'algérie.L'arrestation de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud, membre du "front Polisario" vient s'ajouter à la longue liste des violations des Droits Humains en vigueur depuis des années dans les camps de Tindouf sur le sol algérien. Le mardi 21 septembre, «les services secrets algériens procèdent à son arrestation sur une partie du Sahara» durant son retour vers Tindouf. Il est «conduit par la suite vers un endroit secret». On ignore à ce jour son sort. Marquons d'abord un bref arrêt sur certains faits de l'événement en rectifiant des contrevérités. 1- Contrairement à une déclaration du représentant du «Polisario» à Bruxelles sur la chaîne de télévision qatarie Al-Jazira, M. Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud n'est pas un simple «policier». Il exerçait -à son débarquement à Smara- les fonctions d'«inspecteur général de la police» du «Polisario». Il s'agit donc d'un «haut cadre du «Polisario», chargé du maintien de l'ordre dans les camps de Tindouf». 2 - La région de Mhiriz où il a été interpellé est un prolongement de la zone tampon vers les frontières avec l'Algérie et non point «une partie» d'un «territoire libéré par le Polisario» comme le prétend le représentant du «Polisario». Une tromperie polisarienne désuète à la quelle personne ne se méprend plus. Alors, plus qu'une «atteinte portée à l'intégrité physique de Ould Sidi Mouloud» l'arrestation équivaudrait à un rapt. Mais le comble de l'ironie se révèle quand le «Polisario» déclare vouloir le «juger et le condamner». En territoire algérien, évidemment. Un procès du «Polisario» ? Qui voudrait-on leurrer encore ? Le «Polisario» ne peut bouger le petit doigt que sur ordre d'Alger. On le sait. En réactions à cet événement gravissime, les protestations les plus vigoureuses ne tardent guère à se faire entendre. code pour embarquer la vidéo : >>> http://www.youtube.com/embed/V1ylEySwqXo <<< |