LA LOI DE DEPLACEMENT ET SON APPLICATION-6LA LOI DE DEPLACEMENT ET SON APPLICATION Les Régions Où Sont Installés Les Arméniens Dans le cadre de l'application du déplacement, on a décidé au transport des Arméniens exclus des villes de Van, Erzurum, et de Bitlis au sandjac de Zor et d'Urfa, et au Sud de Musul, et des Arméniens exclus des villes de Maras, Adana et Alep à l'Est de la Syrie et au Sud-Est et au Sud d'Alep. Mais comme les révoltes et les massacres Arméniens ont continué; on a déclaré le 5 Juillet 1915 avec une annonce envoyée aux villes de Bitlis, Erzurum, Adana, Alep, Diyarbakir, Syrie, Sivas, Trabzon, Elazig, et Musul, à Comission des Biens Abandonnés d'Adana, et aux sandjacs de Zor, Maras, Canik, Kayseri, et Izmit que les régions précisées pour l'installation des Arméniens avaient été élargis. Cependant, on a fait attention à ce que les régions, dont ceux qui sont transportés allaient être installés soient au moins à 25 km. des chemins de fer, à ce que la population Arménienne ne soit pas plus que les 10% du la peuple musulman et à ce que les villages ne dépassent pas 50 domiciles. La Population Arménienne Soumise Au Déplacement Le nombre des Arméniens qui ont été expédiés par différentes voies pendant l'application du déplacement, a toujours été controlé là où ils ont quitté et là où ils sont arrivés. Il a été fixé avec des documents que le nombre des gens transportés de différentes régions de l'Anatolie aux régions d'habitat entre le 9 Juin 1915 et le 8 Février 1916 est de 438.758 personnes. On a enregistré une par une les dates de sortie et d'arrivée des Arméniens dans leur région d'installation et leur nombre. A part ça, beaucoup d'Arméniens se sont dispersés dans différents pays, en particulier en Amérique et en Russie avant et pendant la guerre. On a documenté que 50.000 Arméniens membres de l'armée Ottomane avaient rejoint l'armée Russe et que 50.000 Arméniens étaient éduqués depuis trois-quatre ans afin de faire la guerre contre les Turcs. Pertes des Arméniens Donc, le nombre des renvoyés est de 438.758, alors que ceux qui arrivent à la nouvelle région d'hébergement est de 382.148, y compris ceux qui sont à Halep. On le voit très bien qu'il ya une différence de 56.610 personnes. Selon les données procurées à partir des documents, cette différence de 56.610 personnes entre ceux qui sont renvoyées et qui sont arrivées à leur nouvelle région d'installation s'explique comme cela: Entre Erzurum et Erzincan 500 massacrés, à Meskene sur la route de Urfa et Halep environ 2.000 massacrés et dans la région de Mardin 2.000 massacrés à la suite des assauts des brigands et des nomades Arabes; et du même nombre de massacrés, c'est à dire quelque 5.000 même peut être plus sont victimes des attaques contre les convois traversant la région de Dersim. On comprend sous la lumière de ces renseignements que les 9 ou 10 mille personnes au total sont massacrées lors de déplacement. Par ailleurs, il résulte des documents qu'il ya eu des pertes de vie à cause de la famine. on estime, environ 25 ou 30 personne, le nombre de ceux qui sont morts de l'épidémie comme la fièvre typhoïde et de la dysenterie et des conditions atmosphériques négatives, ce qui est 40 mille personnes, au total, qui ont perdu leur vie sur les routes. Et une partie des autres de 10-16 personnes; bien qu'ils se soient mises en route, sont tenues à habiter dans la province où ils étaient vu l'interruption de déplacement. Par exemple, on a adressé une lettre à la province de Konya, le 26 avril 1916, demandant que les arméniens étant sur les trajets de déplacement ne soient pas renvoyés et qu'ils soient logés dans la région. On suppose d'autre part qu'une partie des Arméniens prévus à déplacer soient enlevés en Russie, aux pays occidentaux ou en Amérique. Il existe aussi des documents prouvant que les 50.000 des arméniens au service militaire dans l'armée ottomane ont gagné l'armée russe et encore les 50.000 Arméniens ont entrainé dans l'armée Américaine durant entre 3 ou 4 années pour combattre avec les turcs. En effet, la lettre d'un Arménien vivant en Amérique adressée à Murad Muradyan, avocat à Mamuratilaziz, contient des renseignements de ce egnre. Dans cette lettre, on exprime clairement que certains Arméniens ont été enlevés en Russie et en Amérique et que les 50.000 contingents entrainés en Amérique étaient en train de partir pour la Caucase. Comme on le comprendrait très bien de tous ces documents que beaucoup d'Arméniens de citoyens Ottoman sont partis, avant et pendant la guerre, dans les différents pays, dont la Russie et l'Amérique en tête. Par exemple, la lettre d'un Arménien, Artin Hotomyan se trouvant en Amérique dans le but de commerce, adressée à la Direction Générale de la Police montre que des milliers d'Arméniens étaient enlevés en Amérique dans les différentes voies et que ceux-ci vivaient dans la misère et affamés. Par ailleurs, tous ceux-ci montrent qu'il existe un équilibre entre le nombre des arméniens soumis au déplacement vers les différentes régions de l'Anatoie et de la Thrace, et de celui qui sont arrivés dans les nouvelles régions d'installation et qu'il n'y a pas eu de massacres lors de déplacement et d'installation. Le Mouvement De La Population Arménienne Pendant Le Déplacement Au cours du déplacement on constate que les 50.000 Arméniens parmi des recrutés dans l'armée Ottomane, étaient passés du rang Ottoman à celui de l'armée Russe. Et d'autre part, on comprend d'une lettre envoyée par un Arménien vivant, à cette époque -là, aux Etats- unis d'Amérique, à Murad Muradyan, avocat à Elazig, qu'il y avait 50.000 Arméniens environ qui étaient en train d'être éduqués dans l'armée Américaine, afin de combattre contre les Turcs. On exprime clairement dans cette lettre que ces 50.000 Arméniens soldats sont prêts à partir pour la Caucase et qu'une partie d'Arméniens Ottomans été enlevée Aux Etats-unis d'Amérique et en Russie. Il est facile de comprendre de tous ces documents qu'une grande partie de la population Arménienne Ottomane, s'était dissipée dans des différents pays, en tête les Etats_ Unis d'Amérique et la Russie. Par exemple, un certain Arménien, nommé Artin Hotonuyan, s'y trouvant pour but commercial, fait savoir, dans sa lettre envoyée le 19 Janvier 1915 au directorat Général de Sécurité, que des milliers d'Arméniens onthété enlevés Aux Etats -Unis d'Amérique et qu'ils y vivent dans la misère et pauvreté. Tous ces renseignements et documents nous prouvent que le nombre des Arméniens, soumis au déplacement soit en Anatolie soit à la Thrace, est en d'accord et équilibre avec les chiffres de ceux qui se sont déplacés et qui sont arrivées à leurs nouvelles destinations et qu'il n'y a eu aucun massacre au cours du voyage. Etant donné que le nombre des Arméniens soumis au déplacement est 500.000 environ et ces chiffres s'élèvent à 600.000 ou 800.000, y compris le nombre des Arméniens non obligés à déplacer et avec le nombre de ceux d'Istanbul, de Bursa et de Kütahya et avec le nombre de Kars et de Van qui se trouvaient sous l'occupation Russe. En 1918, le chef de la délégation Arménienne, Boghos Nubar Pacha, dans son rapport qu'il a envoyé à M.Gout, Ministre Français surchargé des Affaires Extérieures, annonce qu'en Caucause 250.000, en Iran 40.000, en Syrie et Paletine 80.000 et à Bagdad-Musul 20.000, au total 390.000 Arméniens ont été expediés des terres Ottomanes. Mais qu'en vérité, le total de ceux-ci était 600.000 ou 700.000 et que ces chiffres -ci ne contenaient pas un certain nombre d'Arméniens dissipés par-ci par-là dans les déserts. On comprend, des chiffres donnés par Boghos Nubar Pacha qu'il y avait des Arméniens qui avaient quitté l'Anatolie, hors de l'application du déplacement. Donc, si on ôte ces 290.000 de 600.000 ou de 700.000, on voit que le nombre des Arméniens soumis au déplacement, est environ 400.000. Cela nous prouve qu'il y a un bon accord et équilibre de vérité entre les chiffres donnés par le chef de la délégation Arménienne avec les chiffres des documents Ottomans et qu'il ne s'agit pas du tout aucun génocide ni avant, ni après la période du déplacement et que les allégations Arméniennes sur le prétendu génocide n'a aucun soutien, aucune preuve, aucun sens. D'autre part selon le rapport que Noradungian Gabrial a présenté à la Comisssion Tali de la Conférence de Lausanne, le nombre des personnes qui sont parties est de 695.000, dont 345.000 au Caucase, 140.000 en Syrie, 120.000 en Grèce et aux îles égéennes, 40.000 en Bulgarie, et 50.000 en Iran. Hatisov, une des personnes importantes des Arméniens (plus tard Président de la République Arménienne) qui a assisté à la conférence de Trabzon (14 Mars-14 Avril 1918) annonce dans le message qu'il a envoyé à Mr. Huseyin Rauf, qu'il y avait dans le Caucase 400.000 arméniens qui s'étaient échappés de l'Empire Ottoman. Un autre arménien Richard Hovannisian affirme que 35.000 Arméniens avaient émigré des pays Arabes (en dehors de la Syrie) en Amérique et en France, 25.000 en Iraq, 40.000 en Egypte, 10.000 en Jordanie, et 50.000 à Lubnan. A partir de ces chiffres donnés par les Arméniens et les étrangers, on voit que dans l'application d'expédition et d'habitat, 855.000 Arméniens avaient émigré, dont 345.000 dans le Caucase, 140.000 en Syrie, 120.000 en Grèce et aux îles égéennes, 40.000 en Bulgarie, 50.000 en Iran, 50.000 à Liban, 10.000 en Jordanie, 40.000 en Egypte, 25.000 en Iraq, et 35.000 en France,en Amérique, en Australie etc... Il est impossible que deux-trois millions de personnes soient tués, comment l'allèguent les Arméniens. Cette fausse accuse est peut-être le plus grand mensonge du monde, parce qu'il n'y avait que 1.250.000 Arméniens dans l'Empire Ottoman. Encore plus que ça, si l'Empire Ottoman voulait se débarasser du peuple Arménien, il pouvait tranquillement règler cela par la voie d'assimilation et en montrant comme cause la guerre. Alors que comme on le sait, les arméniens ont mené une vie même plus tranquille que les Turcs dans l'Empire Ottoman. Il est précis que quand les Arméniens, qui ont cru au rêve d'une Arménie indépendante et à ce qu'on allait leur donner les terres qu'ils ont occupées pendant la Première Guerre Mondiale, ont commencé à frapper de derière l'Empire Ottoman dont ils sont citoyens, l'application de déplacement est devenu une obligation. Le déplacement des Arméniens avait pour but non d'anéantir les arméniens, mais de les protéger et d'assurer la sécurité de l'état et c'est la meilleure application du monde de déplacement. Les Attaques Aux Bandes Arméniennes Et Les Mesures Prises Par L'Etat Pendant l'expédition des Arméniens dans les nouveaux lieux d'installation, il y a eu des attaques envers certaines bandes, en particulier entre Alep et Zor par des tribus et les brigands d'Urban. Comme on peut le comprendre d'un télégramme codé daté du 8 Janvier 1916, que beaucoup d'Arméniens ont été tués par les attaques qu'Urban a fait pour usurpation, sur la route qui mène d'Alep à Meskene, et que 133 peu près 2000 d'entre les Arméniens qui ont été expédiés à Alep par la voie de Soruç-Menbiç et de Diyarbakir-Zor. On a vu que 2000 personnes -Arméniens et non musulmans- ont été tuées dans la région de Diyarbakir par les troupes et les brigands, et qu'une bande de 500 personnes a été tuée suite à l'attaque de certains Kurdes entre Erzurum et Erzincan. Le Gouvernement Ottoman, qui d'un côté faisait la guerre contre les ennemis, de l'autre côté, avait fait des efforts extraordinaires pour assurer la sécurité des bandes. Des délégations d'observations ont été fondées et envoyées aux régions de migration afin de fixer les fonctionnaires qui abusent et négligent leur mission pendant l'expédition des bandes Arméniennes. Ces délégations ont envoyé les fonctionnaires fautifs à la cour martiale. Beaucoup d'entre ceux-ci ont été renvoyés de leur mission, et certains ont été gravement punis. Les Arméniens Non Déplacés La décision de déplacement n'a pas été appliquée sur tous les Arméniens. Les Arméniens obligés à réinstaller ailleurs, ce sont les Arméniens Grégorien et ce sont ceux qui s'insurgent contre l'Etat. De l'autre côté, les personnes handicapées, vieilles, malades, infirmes, les orphelins et les veuves n'étaient pas compris dans l'exode. Ils étaient protégés dans les orpélinats et dans les villages, et leurs besoins ont été procurés par l'état. Dans une lettre circulaire à propos des familles Arméniennes ayant besoin d'être protégées,publiée le 30 Avril 1916, on a annoncé que les familles dont les hommes étaient dans l'armée devaient être installées dans les villages et dans les bourgs où il n'y avait pas d'Arméniens et d'étrangers et que leurs subsistances devait être procurées de l'allocation des émigrés. Les Biens Des Arméniens Soumis A L'Exode Avec un règlement publié le 10 Juin 1915, les biens des Arméniens soumis à l'exode ont été pris sous protection. Les biens démontables, les animaux, les fabriques tournées, ont été vendus à la surenchère par les commissions fondées et l'argent a été envoyé aux possesseurs. (17) Le retour des Arméniens qui ont été déplacés Le transfert des Arméniens vers leurs nouvelles régions d'établissement a été arrêté le 8 février 1916 après la fin de la Première Guerre Mondiale un décret a été émis permettant aux Arméniens qui le veulent retourner dans leurs régions initiales. Dans une lettre du Ministre de l'Intérieur Mustafa Pasa envoyée le 4 janvier 1919 au Premier Ministre, il a été indiqué de façon détaillée que des instructions ont été transmises aux autorités concernées pour le retour des Arméniens à leurs régions initiales et que les mesures nécessaires ont été prises.(18) Les répercussions à l'étranger de l'application du Déplacement Bien que les observateurs étrangers qui se trouvaient dans les régions d'où les déplacements étaient effectués aient écrit que malgré l'état de guerre sur plusieurs fronts, l'Etat Ottoman accomplissait ce transfert avec une grande méticulosité et d'une bonne manière. La presse Européenne, pour but de propagande, préférait transformer l'événement. D'ailleurs, bien que le Consul Américain à Mersin, Edward Natan, ait écrit dans son rapport que le transfert était réalisé d'une manière très organisée, l'Ambassadeur à Istanbul, Morgantau, a relaté les événements aux autorités de son pays d'une toute autre façon et la presse Américaine a utilisé ces informations au détriment des Turcs. Dans le cadre des rapports des consuls Anglais se trouvant en Iran, 1.000.000 d'Arméniens auraient été tués et ces allégations ont été discutées au Parlement Anglais et la décision de protester le Gouvernement Turc a été prise. D'autre part, dans le "Livre Bleu" publié en Angleterre sur les événements Arméniens, on prétendait qu'un tiers des 1.800.000 Arméniens dans le pays Ottoman aurait été massacré. Les études réalisées par les étrangers Tout de suite après la Première Guerre Mondiale, c'est l'Angleterre qui, premièrement fait, des recherches car, ils avaient arrété les 143 dirigeants politiques et militaires Ottomans et envoyés à l'île de Malte comme prisonniers de guerre. Pour justifier leurs crimes ils avaient fait des recherches extensives, mais ils n'avaient pu trouver aucune preuve, et aucun documents malgré qu'ils aient toutes les possibilitiés des vainqueurs, en ce qui concerne le génocide. Dans les années suivantes, les mensonges concernants le prétendu génocide ne s'étaient pas arrêtés et en voulant créer une opinion publique par des renseignements et documents faux quelques politiciens de certains pays ont été instruments dociles de ces allégations fausses. Sur le fait que l'Assemblée des représantants des Etats-Unis d'Amérique voulait prendre une décision concernant le soi-disant génocide, les 69 scientifiques Américains préparant un rapport très important l'ont présenté à l'Assemblée des représentants le 19 Mai 1985: "Depuis le 14ième siècle jusqu'en 1922, le territoire dénommé aujourd'hui la Turquie, ou plutôt la République de Turquie, était une partie de l'Empire Ottoman qui était un Etat à multiples religions et multiples nations. Comme il serait erroné de considérer l'Empire des Habsbourg comme identique avec la République Autrichienne d'aujourd'hui, il est aussi faux de considérer comme identique la République de Turquie avec l'Empire Ottoman. Les académiciens américains soussignés, spécialisés sur les recherches Turques, Ottomanes et sur le Moyen-Orient, sont de l'avis que le langage utilisé dans la décision no 192 de l'Assemblée des Représentants des Etats-Unis est trompeur et faux de plusieurs points de vue. Nos réserves se concentrent sur l'utilisation des termes "Turquie" et "génocide" et peuvent être résumés comme: L'Empire Ottoman supprimé par la révolution Turque de 1922 résultant en la création en 1923 de la République de Turquie actuelle, était un Etat englobant les terres et peuples de plus de 25 Etats de l'Europe du Sud-ouest, l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient et dont seulement un d'entre eux est la République de Turquie. La République de Turquie ne peut être considérée comme responsable d'aucun événement survenu dans l'époque Ottomane. Quant à l'accusation concernant le "génocide"; aucun de ceux qui ont signé cette déclaration n'a pour objectif de mésestimer les souffrances des Arméniens. De la même façon, nous sommes d'avis que les souffrances du peuple musulman de la région en question ne peuvent être évaluées différemment (...) Cependant, il existe encore de nombreux documents que les historiens doivent trouver pour déterminer les causes des événements et distinguer les innocents de ceux qui attaquent. Les accusations telles que celles contenues dans la décision no 192 de l'Assemblée des Représentants vont mener à des jugements injustes sur le peuple Turc et peut-être rendre préjudice au développement enregistré par les historiens pour comprendre ces événements tragiques. Si le Congrès approuve cette décision, il aura tenté de déterminer légalement quelle partie du problème historique est véridique. Une telle décision basée sur des hypothèses douteuses du point de vue historique, nuira à la recherche historique loyale et pourra altérer la faillibilité du processus législatif Américain.'' code pour embarquer la vidéo : >>> http://www.youtube.com/embed/MRUOOO-rPuk <<< |