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chef COOK gourou Vegetarien





Manger du veau ou de l'agneau...ou autre être vivant ,sans être complètement conditionné est impossible.

Le plaisir gastronomique ne peut à lui seul orienter ce choix, c'est une conjugaison de paramètres, qui, agissant sous la surface de ce qui nous apparaît comme la réalité, nous fait prendre des décisions hors de notre véritable champ intellectuel et affectif.

Un être humain, ne peut en aucun cas se satisfaire d'un plaisir gustatif basé sur autant de cruauté, de déni de souffrances, sans qu'il n'ai subit par son éducation un véritable lavage de cerveau, ni pour continuer, une solide pression sociale, qui, mélangées à ses propres besoins, le rendra incapable du minimum de discernement.
On ne peut en effet, caresser un chat ou un chiot d'une main, et accepter que l'on égorge un veau ou un agneau sans un mécanisme de déni de la réalité à l'origine de répercussions immenses dans notre rapport au monde.
Cette manipulation est inscrit dans notre culture, notre héritage.
Nous sommes tous piégés par cet atavisme, le défi est de cesser de nous y complaire, et avec courage, et honnêteté, s'en libérer.

C'est un devoir pour un humain qui se voudrait adulte, responsable, parent, citoyen,du monde que de se libérer de la cruauté et de la barbarie.
C'est un devoir pour une société de travailler à cette libération, il en est du plus haut intérêt.
L'intelligence comme la liberté ne doivent pas être convoquée pour satisfaire à des pulsions nécrophages ou barbare, ni pour nuire à la vie, quelque soit le sexe, la race ou l' espèce, elle ne doivent pas non plus l'être pour manquer à ce devoir.
Beaucoup se décourage, et se replie dans la facilité des habitudes, des mécanismes. Pourtant, il faut agir, et commencer par ne plus être complaisant ni complice.
Aujourd'hui, porter de la fourrure, manger de l'agneau, du veau... ainsi qu'en faire leur commerce, sont des actes osons le dire: irresponsables.
L'irresponsabilité ne prend-elle pas ses racines dans l'immaturité?
L'immaturité est-elle à blâmer, ou plutôt les actes qui peuvent en découler qui seront à critiquer, à corriger, à condamner?

On ne peut en aucun cas en vouloir à quiconque d'être immature, en revanche la complaisance, quand a elle permet le pire, et c'est tout autre.
Immaturité est le stade précédant notre contemporanéité, il nous importe d'être davantage prospectif.
Nommer ce qui est, est déjà un premier pas.
Il n'est plus possible de fermer les yeux sur l'ignominie, comme pouvait et le font encore confortablement la plupart d'entre nous.
Les résonances de cette cécité, sont multiples et pervertissent l'ensemble de notre société, de notre civilisation.
La complaisance vient aussi de notre héritage, c'est un positionnement devenu réflexe, qui comme les actes cruels, a son système de défense habile, ses justifications, qui tournent sur elle-même, pour préserver de gros profits ,mais si dérisoires en regard des possibilités qui soffrent à l'humanité qui voit et qui se lève.
Ce conditionnement agit sur nous de manière insidieuse, tant que nous n'y prenons pas garde, tant que nous ne posons pas d'acte concret, de parole, d'engagement libérateur. I
insidieusement il nous fait déléguer nos prises de décisions à autrui, ou à des systèmes, tout en nous faisant croire qu'elles nous appartiennent.
On ne mène pas des humains aux carnages autrement.
penser se préserver de ce processus est une inconscience, un système de protection de l'égo.
La libération passe par le contact avec la réalité, pour renouer notre vision du réel avec notre coeur, et toute notre sensibilité.
C'est là qu'il nous faut du courage et apprendre à laisser couler ses larmes.
La beauté et la puissance d'un humain est dans l'acceptation et la célébration de sa sensibilité.

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