Pensée furtivePoème sur une musique de Smetana Pensée furtive Je ressens dans mon cœur de la mélancolie Quand les brouillards givrants masquent le paysage, La nature s'enferme en sa léproserie Car les vents et le froid ont rongé son visage. Les animaux se cachent au fond de leur tanière Afin de résister aux gelées matinales, Ils subissent le froid, de la même manière Que les humains sans toit au sein des capitales. Comment pourrais-je aider ces êtres sans défense Qu'il s'agisse d'humains, comme des animaux ? Je sais que mon combat n'aura aucune audience Et je dois me résoudre à baisser les rideaux. Extrait de l'ouvrage de Jack Harris : "Brumes d'automne" code pour embarquer la vidéo : >>> http://www.youtube.com/embed/WrvK9BAmw1I <<< |